mardi 8 novembre 2011

Prévisionnement du 2ème trimestre








Pour les cycles 1, 2 et 3

Le mercredi 23 novembre 2011






Cinéma « LE RIO »

6 avenue de la Chaussée-de-César
SAINT FLORENT SUR CHER





























14h : Projection du film « Goshu le violoncelliste » de Isao Takahata

15h30 : Présentation du projet départemental, une exposition autour de « Goshu le violoncelliste ».
Le projet sera présenté par Brigitte Bardolle, Jean-Michel Athomas, Camille Girard et les tous les membres du comité pédagogique.

17h : Fin



Cette journées est ouverte aux enseignants inscrits au dispositif « Ecole et cinéma ». Les pré visionnements sont des séances gratuites destinées aux enseignants inscrits dans le dispositif, afin de préparer en amont et dans les meilleures conditions les films du programme. C’est aussi le moment ou jamais de récupérer les précieux documents pédagogiques (cahiers de notes et cartes élève).







mercredi 24 août 2011

Prévisionnement "Le Bonhomme de Neige"

Le prévisionnement pour les cycles 1 et 2 se déroulera le


Mercredi 7 septembre 2011 à 9h15
Maison de la Culture de Bourges


9h15 Projection du film « Le Bonhomme de Neige »
Un film de Diane Jackson








Depuis le début des années 80, en Angleterre, Le Bonhomme de neige est un classique du dessin animé. Le morceau de bravoure du film reste la séquence de vol dans laquelle les deux héros, Bonhomme et Petit garçon, traversent des paysages magnifiés par les animaux qui les habitent et par la délicieuse musique d'Howard Blake. Au terme de ce voyage, il y a un Pôle Nord vivifié par la merveille de l'imaginaire.

A l'aide de retours réguliers sur des fragments précis du film de Diane Jackson, nous interrogerons ensemble les éléments de cette initiation à la magie du cinématographe où la part belle est, et c'est tant mieux, laissée à l'émerveillement simple.
Nous serons attentifs aux effets du crayonné aux pastels choisis par la réalisatrice plutôt que la technique des aplats de couleurs sans relief ; au "comment ça parle ?" des différents personnages.
Que faire de la projection en salle avec les classes lorsque le film est si court (26 minutes) ?
Des travaux pratiques ! Pour expérimenter la persistance rétinienne et l'illusion du mouvement : des outils simples pour des séquences de travail à inventer avec la classe. Venez avec vos gommes, crayons de papier et autres couleurs !


Marie Diagne






Intervention de Marie Diagne








Marie Diagne a étudié les lettres et le cinéma à l’université avant de découvrir le montage de films documentaires et de fiction sur Classified x (script du cinéaste noir américain Melvin Van Peebles) et sur La Petite vendeuse de Soleil de Djibril Diop Mambety.
Elle est l'auteur de scenarii de films documentaires.
La transmission du cinéma l'intéresse depuis plus de quinze ans. Elle l'expérimente sous des formes diverses : cette transmission qui court au sein des dispositifs nationaux d'éducation au cinéma comme celle qui se découvre dans les manifestations cinématographiques ; celle qui se questionne avec des enseignants ou celle qui se partage dans les classes ; celle qui s'invente, de manière plus impromptue, dans les salles de cinéma elles-mêmes lors de l'accompagnement de films. Elle est également l'auteur de documents pédagogiques.
Elle a récemment découvert l'audio-description : la description d'éléments visuels d'un film, judicieusement choisis et insérés dans les portions entre guillemets non signifiantes de la bande son, afin de rendre accessible ce film aux spectateurs mal- ou non voyants. Elle a mis en oeuvre la pratique pédagogique de cette technique en atelier. A écrit et interprété les descriptions de plusieurs films.
Aujourd'hui, outre son activité de scénariste et de pédagogue, elle poursuit une réflexion sur la relation étroite entre l’accessibilité des oeuvres cinématographiques aux publics handicapés sensoriels et la question de la transmission du cinéma.







Cette journée est ouverte aux enseignants inscrits au dispositif « Ecole et Cinéma ».
Les prévisionnements sont des séances gratuites destinées aux enseignants inscrits dans le dispositif, afin de préparer en amont dans les meilleures conditions les films du programme.



















Prévisionnement "Regards Libres"


Le prévisionnement pour les cycles 3 se déroulera :

Mercredi 14 septembre 2011 à 9h15
Maison de la Culture de Bourges

9h15 Projection du programme « REGARDS LIBRES »


















5 courts métrages à l'épreuve du Réel

Regards libres
Apologie de l’attention

Regards libres emprunte aux voies du suspense. Mais ici, aucun meurtre n’a été commis. L’événement longtemps dérobé à notre regard et dont les témoins convoqués pour en rendre compte nous entretiennent tour à tour est un tableau. Ce principe formel consistant à filmer des enfants d’une dizaine d’années qui réagissent face à une toile signée Jérémy Chabaud tout en ne nous permettant pas de voir celle-ci, manifeste une certaine dimension démonstrative. Parallèlement, le procédé nous conduit à imaginer ce que les mots des enfants suggèrent jusqu’à ce que les linéaments d’images nées ainsi en nous se confrontent in fine avec l’œuvre enfin montrée longuement, frontalement.
De quelle liberté se revendique le titre ? Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Romain Delange explique les raisons de la tranche d’âge choisie. Ces enfants ne sont pas encore trop bridés par un savoir reconnu, une culture instituée dont la présence, quand bien même ils ne la maîtriseraient pas, pèserait sur leur parole. Ce qui émane de leurs propos recoupe une palette de réactions type que la mise en scène et le montage orchestrent en ménageant différents tempos, des silences, des hésitations, des rires impromptus.
Le prégénérique nous familiarise avec un premier visage en gros plan et avec le principe du regard fixé sur un objet auquel l’enfant réagit. Après le générique, l’enfant qui pénètre précautionneusement dans la salle affine le dévoilement du dispositif. Ensuite, le montage va alterner des raccords de mouvements – par l’entremise du panoramique circulaire qui passe du visage net à l’arrière du tableau flou et réciproquement – à des coupes dans le plan qui privilégient la logique des paroles prononcées. De son côté, le recours à des tandems apporte un autre type de dynamisme au film. Au lieu d’enchaîner les témoignages les uns à la suite des autres, le film les entremêle selon une progression pas complètement linéaire, qui procède par associations – à la barque évoquée par l’un fait suite le bateau qui avance – ou échos – la dimension descriptive présente au début demeure vivante jusqu’à la fin.


Gbanga-Tita
La part du hasard

À quoi correspond ce gros plan qui isole cet Africain ? Pourquoi ne pas avoir montré les enfants à qui il s’adresse et qu’on entend pourtant distinctement ? Quel sens a ce récit qu’il leur conte ? La tenue dont fait preuve Gbanga-Tita, la rigueur du parti pris, font que le spectateur qui le découvre peut difficilement se départir de l’envie de reconstituer une intentionnalité. Pourtant, les cartons qui encadrent les deux plans du film nous donnent le contexte de leur réalisation. Même si la mise en scène en a été programmée – et comment pourrait-il en être autrement avec la lourdeur du matériel qu’il a fallu emporter au fin fond de la forêt équatoriale – Gbanga-Tita est le fruit du hasard, un de ces moments de grâce qui adviennent parfois pendant un tournage. Dans un film, il y a ce qu’on prévoit, ce qu’on sème et ce qu’on cueille par inadvertance. Ici, comme l’explique Thierry Knauff dans l’entretien et comme le laisse entendre le troisième carton, le destin a fait coïncider la durée technologique de la pellicule qui restait dans la caméra et le temps mis par Lengé à boucler son histoire. Que ce dernier soit mort quelques semaines après – comme nous l’apprend le carton final – apporte une émotion supplémentaire au sentiment d’assister à un instant unique arraché à l’oubli, de découvrir un document plus qu’un documentaire. Nous sommes ainsi condamnés à l’attitude qui, toujours, devrait être prioritairement la nôtre face à une œuvre : tenter de mettre en mots l’émotion que le film provoque en nous.
D’une certaine façon, il s’agit de la captation d’un spectacle dans lequel Lengé est à la fois conteur, chanteur et chef de chœur, dans l’exécution duquel toute frontière entre spectateur et participant est abolie. Il serait plus pertinent d’admettre que nous n’avons pas de substantif adéquat pour nommer ce qui se joue là, en pleine nature : la transmission d’un conte mille et une fois répété, d’un récit initiatique qui renvoie à une conception du monde et passe par une sorte de chant.


Le Chœur
Mobiliser le regard

Regarder n’est pas une évidence, nous en faisons l’expérience tous les jours. La plupart des choses ou des gens que nous voyons, nous ne les regardons pas. Même si le cinéma contribue souvent à détourner le regard de ce qui nous entoure, il peut aussi le mobiliser, et nous apprendre, lentement, une autre façon de faire sens. C’est ce que propose, de films en films, le cinéma d’Abbas Kiarostami, une ouverture sur ce qui vient à se donner pour peu que l’on regarde. Ce cinéma est là pour nous ouvrir les yeux.
Quand il réalise Le Chœur en 1982, Kiarostami est déjà l’auteur de nombreux films dont les protagonistes sont des enfants ; le monde de l’enfance est d’ailleurs le sujet presque exclusif de son cinéma depuis 1969, date à laquelle il fonde le département cinéma au sein de l’Institut pour le développement intellectuel des enfants et des jeunes adultes (le « Kanun » cf Autour du film). Si le film s’ouvre comme un cahier d’écolier, c’est qu’il se situe d’entrée sur un plan pédagogique, le cinéaste se soucie de nous apprendre quelque chose. Mais apprendre ici n’a rien à voir avec les devoirs d’école et les leçons à retenir. Il s’agit d’abord d’une expérience, celle d’un mouvement qui nous force à sortir (étymologiquement « éducation » signifie « tirer hors de »). Mais sortir de quoi ?
L’exposition pourrait être celle d’un film d’action. Les premiers plans nous montrent une cavalcade empressée qui ne laisse rien deviner de la suite. Il y a un élan irrépressible dans cette intrusion, une brutalité qu’accentuent la frontalité des plans et la verticalité des murs. D’abord statique, la caméra suit le mouvement et se laisse entraîner dans la course en travelling arrière. Un plan serré des jambes puis de la tête du cheval prisonnier de ses harnais redouble le sentiment de violence de cette irruption d’un réel que la caméra ne peut contenir. Mais soudain la charrette ralentit ; un vieil homme en interdit le passage, un homme fragile et replié sur lui-même, un homme qui tourne le dos.


l'Illusionniste
Illusions et réalités - Un portrait

Qu’est-ce que le cinéaste nous donne à voir d’Antoinette ? Comment nous la dépeint-il et grâce à quelles techniques cinématographiques ?
Nous ne connaissons d’abord d’elle que ses mains et sa voix. Le cinéaste commence par filmer avec attention ses gestes ; la caméra, portée à l’épaule, est très proche d’Antoinette et le cadreur doit suivre la vivacité de chacun de ses mouvements. Le spectateur du film est ainsi un spectateur privilégié : grâce au gros plan, il lui est permis d’être plus près de la scène que dans n’importe quelle salle de spectacle. Il peut alors observer en détail les gestes de l’illusionniste et peut tout à fait penser que, si bien placé, il parviendra peut-être à deviner le « truc ». On remarque qu’Antoinette accompagne chacun de ses gestes d’un commentaire. Dans un tour de magie, l’une des astuces consiste en effet à attirer l’attention du spectateur ailleurs, par la parole mais aussi par des gestes inutiles qui servent à en dissimuler d’autres. Antoinette, l’illusionniste, est ainsi présentée d’entrée de jeu comme un être de gestes et de paroles.
Mais c’est aussi un visage magnifique, radieux, dont le sourire malicieux vient illuminer le film, avec un effet à retardement. Si le cinéaste prend du temps avant de faire apparaître le visage d’Antoinette, c’est pour créer une sorte de surprise, mais aussi peut-être pour signifier, par les moyens du cinéma, combien il faut de temps pour approcher quelqu’un et pour parvenir à bien le filmer. Cavalier n’est pas de ceux qui jettent leur caméra au visage des passants. S’il parvient à filmer au plus près Antoinette, c’est qu’il a su instaurer entre elle et lui une relation de confiance, presque d’intimité.




Prévisionnement animé par Bartlomiej Woznica.















Bartlomiej Woznica est né en 1980 à Varsovie en Pologne. Après des études de cinéma à Paris à l’école Louis Lumière, il travaille deux ans auprès de la mission culturelle française de Beyrouth. Formateur à l’analyse de film entre Beyrouth, Paris et Mexico, il a réalisé deux court-métrage et est co-scénariste et co-réalisateur du documentaire Layn. En parallèle d’un travail de production, il a animé de nombreux ateliers de formation cinéma en France et à l’étranger. Il est responsable du service pédagogique de l’Agence du court métrage depuis 2007.


Cette journée est ouverte aux enseignants inscrits au dispositif « Ecole et Cinéma ».
Les prévisionnements sont des séances gratuites destinées aux enseignants inscrits dans le dispositif, afin de préparer en amont dans les meilleures conditions les films du programme.


mardi 14 juin 2011

Le Cirque (suite)


Quelques totems réalisés par les classes du dispositif à l'occasion de la visite du pôle de l'âne et du spectacle du cirque Bidon,...


vendredi 10 juin 2011

MISE A JOUR Article "Formation "Princes et Princesses" - 16 mars 2011"

Chères collègues, chers collègues,
j'apprends que le lien vers le dossier de formation "Princes et princesses" n'est plus actif. J'ai vérifié et effectivement il y a un bug. J'ai créé un nouveau lien et vous pourrez télécharger le dossier via le lien ci-dessous selon la procédure habituelle expliquée plus loin.
Désolé pour le désagrément. A bientôt.
David RIDET



http://www.sendspace.com/file/auijto





Cliquer sur le lien ci-dessus, et glisser le curseur situé à droite sur la page suivante, faire défiler jusqu'en bas et à nouveau cliquer sur 'ocelot - vierzon - 16 mars.zip'. Vous téléchargerez alors le dossier compressé. Une fois ce dossier téléchargé sur votre ordinateur, vous le sélectionnez en faisant un clic droit puis vous l'envoyez vers 'dossier compressé', le décompresseur devrait faire le travail en quelques secondes.

ATTENTION, il semblerait qu'une page se soit glissée avant la page de téléchargement officielle. Sur cette page, vous devez cliquer sur "REGULAR DOWNLOAD" et continuer la démarche comme indiqué ci-dessus.


ATTENTION, ce dossier fait environ 7.5Mo.
En cas de problème, n'hésitez pas à laisser un commentaire, ce qui me permettra de faire le nécessaire au plus vite. En cas de gros problème, laissez l'adresse postale de votre école et je vous ferai parvenir un CD-rom contenant tous les documents au plus vite
Bonne exploitation. A bientôt.
David RIDET

jeudi 31 mars 2011

Programmation "Ecole et cinéma" - saison 2011-2012



Goshu le violoncelliste Isao TAKAHATA (1981) Choix commun aux cycles 1, 2 et 3



Bonjour à toutes et à tous,


Le comité pédagogique (six enseignantes, deux conseillers pédagogiques, le directeur du CDDP, un exploitant de salle, le coordinateur départemental et un formateur) réuni mercredi 30 mars 2011 au CDDP vous propose, pour la saison 2011-2012, la sélection des films suivants.


ATTENTION : j’indique ci-dessous le premier choix, mais aussi le second, au cas où le premier ne serait pas validé.


Pour chaque film du premier choix, vous trouverez un lien vers la page du site « Les Enfants de Cinéma » et dans certains cas la bande-annonce du film. Je n’ai rien ajouté pour les films du second choix mais si vous le souhaitez, vous pouvez trouver ces informations sur le site « Les Enfants de Cinéma » à l’adresse suivante :


http://www.enfants-de-cinema.com/2011/index.html


Cycle

Premier Choix (sous réserve)

Second Choix

(uniquement en cas de refus du premier choix)

1-2

T 1 – Le bonhomme de neige de Diane JACKSON (1982) - (30’)

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/bonhomme.html

Petites Zescapades

courts métrages d’animation - (32’)

T 2 – Goshu le violoncelliste de Isao TAKAHATA (1981) - (VF – 63’)

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/goshu.html

Bande annonce

http://www.commeaucinema.com/bande-annonce/3369

Mon voisin Totoro

d’Hayao MIYAZAKI (1988) - (VF – 86’)

T 3 – Courts métrages d’animation – (42’)

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/courts.html

Petites Zescapades

courts métrages d’animation - (32’)

3

T 1 – Regards libres – 5 courts-métrages documentaires

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/regards.html

L’étrange Noël de M. Jack

d’H. SELICK et T. BURTON - (1993) – (VO – 75’)

T 2 – Goshu le violoncelliste de Isao TAKAHATA (1981) - (VF – 63’)

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/goshu.html

Bande annonce

http://www.commeaucinema.com/bande-annonce/3369

Mon voisin Totoro

d’Hayao MIYAZAKI (1988) - (VF – 86’)

T 3 – U de Grégoire SOLOTARE et Serge ELISSALDE (2005) – (75’)

http://www.enfants-de-cinema.com/2011/films/u.html

Bande annonce

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18701556&cfilm=108974.html

Peau d’Ane

de Jacques DEMY (1970) – (89’)

mercredi 23 mars 2011

Le cirque BIDON au Pôle du Cheval et de l’Ane







Le cirque BIDON au Pôle du Cheval et de l’Ane

7 , 9 et 10 juin 2011


En prolongement de notre programmation 2010 / 2011, nous vous proposons d’assister avec vos classes , à une représentation du cirque BIDON au Pôle du Cheval et de l’Ane, près de Lignières, les 7,9 ou 10 juin 2011.

Les séances auront lieu en plein air chaque jour, de 10H30 à 11H30. La participation par élève devrait se situer aux environs de 7 euros (le prix définitif dépendant du nombre d’élèves présents, il est souhaitable que nous regroupions les classes sachant que chaque séance est limitée à un total de 300 spectateurs).

Vous pourrez visiter sur place éventuellement, le nouveau Musée des ânes de France, qui ouvrira ses portes dans quelques jours : l’âne dans l’histoire, la culture, l’agriculture, la littérature…et le cinéma. Un musée à la scénographie moderne, une visite ludique et pédagogique à la rencontre des 7 races d’ânes que vous pourrez découvrir « in vivo » dans leurs paddocks.
Exposition temporaire consacrée au sculpteur Pam et à ses ânes de bronze.
(Participation par élève : 4 euros).

Possibilité de pique-nique sur place et de promenades en charrettes.

Un atelier-peinture de silhouettes sur bois de « Charlot » sera proposé. Les silhouettes réalisées seront installées tout l’été sur le site.
(places limitées).

Renseignements, inscriptions et réservations pour toutes les activités auprès de :

Jean-michel ATHOMAS, conseiller pédagogique arts visuels :

jean-michel.athomas@ac-orleans-tours.fr ou tel : 06 82 26 16 08

vendredi 18 mars 2011

INFORMATION

Le prochain comité pédagogique se déroulera le mercredi 30 mars à 14h au CDDP de Bourges.

Le comité sera largement consacré à l’élaboration de la programmation pour la saison 2011-2012.

Vous pouvez consulter la liste des films du dispositif à l'adresse suivante :
http://www.enfants-de-cinema.com/2011/ecole-et-cinema/documents.html

Les enseignants intéressés peuvent s’inscrire par mail auprès de Marc Graffin : marc.graffin@ac-orleans-tours.fr

jeudi 10 mars 2011

La découverte du cinéma sur le temps scolaire menacée


Article Le Monde du 11/02/11


4,5,6 Mélie pain d'épice







Approchez, braves gens ! Voici l’histoire de Mélie Pain d’épice, une princesse fort dégourdie, au royaume de son papa, le bon roi Balthazar, on s’apprête à fêter le printemps,…


Dans la foulée de 1, 2, 3 Léon, Folimages distribution (La Prophétie des grenouilles, Mia et le Migou...) propose quatre nouveaux courts métrages d'animation européens, poétiques et attendrissants. Le Printemps de Mélie est la suite directe des aventures de l'ourson Léon et de sa princesse Mélie, face à un roi usurpateur. Les trois autres films, petits bijoux de quelques minutes chacun, réjouissent encore davantage, et dans des styles très variés : La Leçon de natation, conte grinçant en papier découpé sur un garçonnet qui se retrouve jeté dans le grand bain de la piscine ; Le Joyeux Petit Canard, très ironique, où un enfant et un canard se lient d'amitié ; Tôt ou tard, onirique et métaphorique, autour de l'improbable rencontre entre un écureuil et une chauve-souris qui se partagent le même arbre, l'un le jour, l'autre la nuit...



A l’occasion de la diffusion du programme « 4,5,6 Mélie Pain d’Epice » dans le cadre de l’opération 1,2,3 Ciné début avril, nous proposons aux enseignants intéressés, la possibilité d’organiser une séance le jeudi 14 ou vendredi 15 avril.






et à noter ...




Ciné-Goûter



Le mercredi 13 avril à 16h
à Soulangis !







Pour tous renseignements : Camille Girard : Tél : 02 48 70 93 31
Cinema.rural.itinerant.cher@laposte.net

mardi 11 janvier 2011

INFORMATION ! ! !

Formation Départementale

Mercredi 19 janvier

De 9h à 16h30


« Le Cinéma à l’Ecole »

Salle de l’A .R.E.M.C
Le Chatelet en Berry

Inscription et renseignements :

Jean-Michel Athomas : 02 48 23 60 96